Si côté cour, on ne se refuse rien, côté ville, les Bayonnais trinquent et paient la note… Les familles avant tout, à qui l’on facture désormais à prix d’or le ticket de cantine de leurs enfants dans les écoles bayonnaises : jusqu’à 5 € le repas (triste record en comparaison des villes voisines ou équivalentes, ou encore des collèges et des lycées publics à 3 € le repas, hors tarification sociale), sans compter les pénalités de plus de 2 € appliquées en cas d’absence ou de réservation tardive… Rappelons que le prix unitaire du repas n’est facturé que 3,50€ environ à la Ville par le prestataire extérieur ! Les familles bayonnaises ont aussi subi une substantielle augmentation des tarifs d’inscription à l’école des arts à la dernière rentrée… Quant à toutes celles et tous ceux qui acquittent leur abonnement de stationnement résident sans plus trouver de places, désormais, ils se voient régulièrement matraqués d’amendes et de verbalisations en tout genres : une véritable recette supplémentaire qui alimente d’ailleurs grassement le budget de la ville… Et ce sont surtout l’ensemble des contribuables bayonnais à qui les candidats Etchegaray / Durruty avaient promis en tandem une baisse substantielle de leurs impôts locaux : les feuilles d’impôts des Bayonnais ont pris en réalité 6 % d’augmentation environ au cours de ce mandat… Et le maire ne craint pas, avec ça, de parler, dans un Bayonne Magazine précédent, de « la relation de confiance qui nous lie aux Bayonnais » !!!